Maxence Doussot

    direction artistique partagée, batteur

    Formé une jambe dans la pub et l’autre dans la musique, il entre d’abord en 1999 et le bac en poche à l’Institut des arts rythmiques de Paris pour une année intensive de batterie.

    Il glisse ensuite vers la rédaction et la communication en intégrant Sup de création. Il y développe pendant deux ans son imagination et son allégeance aux concepts. Bien classé à la sortie, il s’essaie à la vie fantasmée des agences parisiennes mais la musique le rattrape assez naturellement.

    Il intègre l’EF2M (École de Formation aux Métiers de la Musique) en 2004. La même année, il rencontre EWEN et fonde L’ATELIER CLANDESTIN. S’en suivront deux albums auto-produits et une cinquantaine de concerts enflammés sur scène comme en rue. Il y apprend le contact proche avec le public et l’intensité constante que cela exige.

    A partir de 2005, il fait également danser les gens avec PUNOSOUND, un duo électro-house qui lui impose une régularité sans faille proche de la machine.

    En 2007, une rencontre majeure avec LES MAUVAISES LANGUES qui passera par l’enregistrement de trois albums sortis chez Vérone productions et plus de 300 concerts partout en France et à l’étranger dont une tournée inoubliable de onze dates en Chine.

    Dès 2009, il tournera et enregistrera également avec DELBI dans un style et un réseau plus électro-rock. Il peut alors y faire parler à la fois sa puissance et sa régularité. Deux aspects de son apprentissage qu’il réunit à ce moment-là et qui définissent encore son jeu aujourd’hui.

    En 2011, avec TONY MELVIL, il développe un personnage ancré dans la folie qui lui permet d’expérimenter encore plus l’aspect visuel du musicien en jeu et l’incarnation même de ses parties rythmiques. Après deux EP ensemble, une cinquantaine de dates et une victoire aux découvertes du festival « Alors chante » en 2016, ils enregistrent La relève, un album sorti chez A(t)home.

    Courant 2012, il est repéré par le guitariste belge Geoffrey Burton (Arno, Bashung, Iggy Pop…). Très vite, il intègre HONG KONG DONG et s’en suivra l’enregistrement d’un album ainsi qu’une trentaine de dates en Belgique et aux Pays-Bas (Ancienne Belgique et Botanique à Bruxelles, le Paradisio à Amsterdam…). C’est également grâce à Geoffrey qu’il passera furtivement par le Velvet de RODOLPHE BURGER pour un remplacement au pied levé.

    En 2015, il participe à TUDO BEM, un projet franco-brésilien de résidence croisée. Un album enregistré des deux côtés de l’Atlantique rempli de nouveaux rythmes et de compositions collectives. Deux concerts en France et deux au Brésil auront le temps de se glisser entre les différentes sessions d’enregistrement de cette formation éphémère.

    En 2018, il est sollicité par le festival de cirque « Plantez-là » pour imaginer un duo batterie-clown avec Véronique Tuaillon. C’est l’étincelle qu’il lui fallait pour assumer son envie d’utiliser sa batterie autrement.

    Il crée sa compagnie L’OURS A PIED en 2019 et monte BARAQUÉ, un premier spectacle qui s’envisage comme un bal de sport et qui tourne encore dans toute la France.

    Il crée ensuite SUPER-G, un seul en scène avec batterie autour de la mise au défi et du dépassement de soi mais comme un comble au vue des thèmes abordés dans le spectacle, des pépins de santé l’obligent à mettre un terme à la diffusion de cet objet solo et performatif qui est devenu physiquement trop exigeant.

    Depuis 2021, il joue également avec Les Batteurs à roulettes et accompagne le Cirque Effiloché.

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